Sur son lit de mort, le pape de la critique gastronomique cherche à tout prix une saveur merveilleuse qu'il ne parvient pas à retrouver.
Les descriptions s'enchaînent sans réelles transitions. Les personnages se succèdent de chapitre en chapitre. Aucun lien ne se créé, tout du moins dans mon esprit. Je suis restée totalement hermétique à ce roman qui n'a déclenché que l'ennui et l'envie de fermer ce livre.
Il y a tout de même un point important à souligner, Muriel Barbery écrit divinement bien, mais pour cette fois, cela n'a pas suffit à me retenir.
Editions Gallimard, Folio, 165 pages, 5 €
2 commentaires:
Je n'ai déjà pas terminé "L'Elégance du hérisson", j'ai encore moins envie de me replonger dedans, définitivement pas envie de lire autre chose de Barbery après avoir lu ton avis...
@Mariel : la vie est trop courte pour lire de mauvais livres !
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