Alors qu'une crise financière mondiale s'abat sur la planète, quant est-il dans le monde de l'édition ?
Comment se porte le marché du livre ?
Et bien, comme le livre a déjà pu le démontrer dans le passé, il échappe à la crise et mieux il est taxé de "valeur refuge" et trouve dans l'effondrement de la bourse une inspiration florissante en témoignent le nombre de livres qui ont été édité sous le couvert de la crise.
Jacques Attali se questionne sur l'avenir de notre société dans La crise, et après ? publié aux Editions Fayard.
Les éditions PUF ont décidé d'éclaircir leur fidèle lectorat d'étudiants en leur présentant le très réjouissant Que sais-je : Les 100 mots de la crise financière.
Une multitude de traders repentis décide de s'exprimer ou mieux avouent qu'il ne se repentiront jamais : Un trader ne meurt jamais de Marc Florentino (spécialiste des marchés financiers), chez Robbert Laffont.
Sans parler des livres traitants de l'affaire Kerviel paru aux Editions du Seuil, aux Editions Albin Michel et chez First et (je n'en doute pas) de ceux qui nous présenteront la fraude du siècle, j'ai nommé mister Madoff & Co.
Mais oh, on avait pas justement parler de valeur refuge, non ? Fasse au JT qui n'en finit par d'énumérer les milliards de $ partis en fumée je veux du rêve, du love, de l'évasion !
Enfin, je dis ça, mais en ce moment je traîne dans les rues de Naples épiées par les sentinelles de la camorra...
On aime se faire peur et ça marche !
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